« Résonances de déserts et d’océans »
« Résonances de déserts et d’océans »
Programme
Séga des îles : « Ile du temps, l’île défile »
La nuit s’envole : « Voyage en Celtie »
Halo : « Un reflet d’Asie »
Transition terre : « Harpe celtique volcanique »
Okianoss : « Dans ces remous qui grondent, si loin du monde… »
L’écho des vagues :
« Quand on chante et que seul un écho se répète, caressant l’harmonie à travers les zéphyrs… »
Improvisation : percussions solo
Berceuse :
« Berce-moi mon amour, tant qu’il est temps d’aimer. Berce-moi, il est tard, avant de m’oublier… »
Les Templiers de Saint-Rémy : gheytchak solo
Les palmes du Sahara : « Là-bas, dans le désert du désert, après ce désert dont je suis l’âme… »
Paradis perdu : « Où est donc l’oasis de jadis, et le frais des palmiers, et le pays des féeries ? »
Ils parlent du Trio Keynoad…
« Accords parfaits de la voix, des percussions et des instruments à cordes, ce mélange de musiques aux sonorités d’ailleurs, a été un perpétuel voyage dans les contrées lointaines de notre imaginaire où l’harmonie et la sensibilité étaient les maîtres-mots de chaque note. La voix d’Ameylia, tout en douceur puis en emportée lyrique, nous rappelait les légendes anciennes, la contemplation de la nature, et les moments de vie… Un voyage dont on voudrait ne jamais voir la fin… Un récit sublimé par leurs talents conjoints ! »
Sébastien Triquère, Le Petit Journal, Pays Catalan
« Une voix et une harpe puissantes, bien entourées par un percussionniste plein d’énergie et un magicien de l’archet qui caresse avec subtilité des violons orientaux. Tout cela sonne à merveille et met superbement en musique les textes très prenants de Michel Saad… ».
Didier Saimpaul, Harpes Mag
« Ameylia Saad Wu se distingue par son interprétation artistique reflétant une formation multiculturelle et un esprit universel.
Prof. Youssef Tannous, Doyen de l’Université USEK de Kaslik, L’Orient le Jour, Liban
« Harpiste de talent, ses compositions sont un merveilleux voyage au pays du métissage et de l’hybridation. Influences de la musique savante contemporaine, slow airs, morceaux tout à fait
inclassables, tout y est ! C’est sa musique à elle, ces cercles dans lesquels elle nous invite à la danse, quelque chose de très personnel et de très universel à la fois. Bref une belle découverte ! Pose comme une nouvelle référence ! ».
Morgan Rozier, Keltia Magazine, Bretagne
« Nicola Marinoni domine les percussions d’une manière très raffinée, à travers ses instruments, il aime, il pleure, il maudit, il souffre, il rit. Ses mains se transforment, elles communiquent à travers les doigts qui glissent, frappent, murmurent, caressent le tambour… »
Irma Abirad, Ultimas Noticias, Montevideo, Uruguay