ENSEMBLE PARNASSIE DU MARAIS

Les Voix de la Méditerranée

DISTRIBUTION

Brigitte TRAMIER, Clavecin
Jean-Michel ROBERT, Théorbe, cistre, guitare, luth sopranino
Mathias AUTEXIER, Zarb, daf, oudou
Catherine PADAUT, Soprano
Lucile PESSEY, Soprano

PRESENTATION

«Musiciens habités, d’une rare complicité: écoute de l’autre, respiration, enchaînements pertinents, sans temps morts, arrangements brillants, l’Ensemble Parnassie du Marais, nous offre un récital de toute beauté dans une vision ethnomusicologique dépoussiérée et magistrale…» Zibeline Décembre 2014.

Crée en 1986 par la Claveciniste Brigitte Tramier, cet ensemble à géométrie variable se produit dans des programmes allant  du Moyen-Age à nos jours sur instruments anciens. Il explore aussi bien les grandes œuvres du répertoire que des pièces peu connues mais toujours en privilégiant les formations en petit effectif dans le but de recréer des atmosphères intimistes. L’improvisation et la création sont au cœur de leur travail.
Les activités de l’ensemble sont multiples : concerts, spectacles, animations, récitals, expositions d’instruments à cordes pincées  ….

Brigitte Tramier a crée au sein de l’ensemble un duo avec Jean Michel Robert réunissant luth, théorbe, guitare baroque et clavecin. Leur répertoire initial issu des musiques dans les cours d’Europe s’oriente aujourd’hui vers des passerelles entre instruments anciens et outils informatiques : «Du baroque à l’indicible ou l’art de la métamorphose».

L’année 1996 a vu  la création de leur maison d’enregistrement sous le label des «éditions Parnassie» et compte à ce jour une soixantaine de CD. En 2013, la signature d’un contrat de distribution avec Qobuz puis Believe Digital a dynamisé les projets de l’ensemble. Leur dernièr programme  » les Voix de la Méditerranée, de Cordoue à Venise… » a obtenu le Label Saison 13 pour l’année 2015/2016.

Parnassie des Marais : «… Nom mystérieux, dont la référence est ambivalente : nom d’une fleur de montagne, dont la beauté a fasciné les fondateurs de l’Ensemble, au point de la prendre comme emblème, il évoque parallèlement quelque Parnasse imaginaire, comme auraient pu le rêver les compositeurs du XVIIIème siècle».